jeudi 29 septembre 2011

Banon à DSK : Regarde moi bien dans les yeux vieux cochon !

DSK a été confronté jeudi matin à Paris par les policiers à son accusatrice française, Tristane Banon, qui dit avoir été victime d'une tentative de viol en 2003. L'ex-directeur du FMI a maintenu sa version des faits, tout comme son accusatrice, a indiqué à l'AFP un avocat de l'ancien patron du FMI, Me Henri Leclerc.
Voici un scénario possible de la rencontre :
Sous le regard des autorités judiciaires et des avocats des deux camps.
T. Banon rassemblant toutes ses forces et avec courage : Check moi ben dans les yeux vieux mononcle cochon et dis-moi que tu n’as pas essayé de me violer.
DSK visiblement ébranlé et gêné, raclant la gorge à s’étouffer : Voyons petite, ne joue pas à la sainte nitouche, j’ai juste essayé de t’embrasser, te laisser quelques baisers affectifs dans le cou.
T. Banon : Oh mon Taba… T’as pas honte de me mentir en pleine face. Tu veux me faire passer pour une affabulatrice ostie de gros menteur.
DSK : Tu avais mal interprété mon geste. Je ne suis pas un agresseur de nature, je suis un séducteur, un french lover, pas un violeur, pardieu.
T. Banon : Ah oui ! Arracher les vêtements d’une fille sans autorisation, c’est aussi de la séduction ca, vieux chien sale ?
DSK : Arrête de m’insulter, bordel de merde, qu’est-ce que vous avez toutes contre moi, salopes, pardon. Je ne fais que distribuer du bonheur moi et vous m’en voulez pour ca? Mes amis m’appellent «Papa Bonheur». Oui, je n’accepte pas qu’une femme me dise non, je force toujours un peu, parfois trop. Est-ce un crime ? Soyons sérieux, pour moi, c’est un jeu de séduction. A prendre sans péril, on jouit sans gloire, dirait quelqu’un.
T. Banon : C’est vraiment n’importe, arrêtez-le, c’est du délire…
DSK : C’est toi qui va arrêter de jouer à la pimbêche. Je n’ai pas fini de parler. Tu veux jouer l’héroïne hein, celle qui veut sauvez toutes les femmes violées du monde? Est-ce ma faute, si je tiens encore comme un cheval à 62 ans? Est-ce ma faute si j’aime le cul, pardon les femmes. On peut peut-être m’accuser de «troussage de subordonnée» mais pas de criminel. Oui, je trompe ma femme tout le temps et elle en est fière. Où est le problème. C’est une vraie femme qui reconnait les besoins de son mari et qui me supporte dans le bonheur comme dans les épreuves dans la santé et dans la maladie, comme juré devant le prêtre. Ma chérie  Âne Sinclair est une femme forte, exceptionnelle, exemplaire, courageuse, digne, euh…inqualifiable, la Jeanne d’Arc des temps modernes. Toute la France devrait être fière d’elle. Vous savez, derrière tout grand homme, il y a une grande femme, dit l’adage.
Savez-vous ce que vous êtes entrain de faire là ma petite Tristane avec vos récriminations, vos accusations pour une histoire vieille de mille ans?
T. Banon : Je veux que justice soit faite.
DSK : Vous commettez un crime, oui oui, un crime, le crime de priver l’humanité d’un si grand économiste comme moi qui peut sauver l’économie mondiale de la crise économique qui s’annonce, d’un coup de baguette magique. Sachez que chaque heure que je perds pour me défendre contre vos enfantillages, c’est une heure que je ne pourrai pas utiliser pour panser les plaies économiques de la planète. Vous et vos semblables qui m’accusez d’agressions imaginaires, êtes responsables de la débâcle économique annoncée du monde.
T. Banon : Menteur, salopard, il essaie de mêler les cartes. Je vous jure qu’il a essayé de me violer. Cet homme est une menace pour toutes les femmes de la terre…
DSK (avec un sourire en coin) : Cause toujours, ma petite, cause…
Un policier : La confrontation est terminée Madame et Monsieur. Merci pour votre collaboration.

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